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AUTEUR
MESSAGE
ROSSI
Viviane
#1
Suite à l'atelier, Enjeux patrimoniaux et culturels, voici quelques idées pour un travail de mémoire
Le 1er demi-siècle de la cimenterie : 1919-1975
Les 1ères carrières :
- Emplacement et superficie
- recrutement
- conditions de travail des 1ers carriers, horaires, wagons, pelles, pioches, température…
- salaires, primes
- évolution dans l’usine
- état de santé, longévité…
(reconstituer un espace animé avec wagon, personnage, vêtements, outils…, vélo, mobylette)
La cimenterie et le développement économique d’Airvault et plus largement
- évolution des effectifs, pouvoir d’achat
- les commerces, les bistrots
- les artisans (construction des maisons des ouvriers)
- ROUX, CHAUVEAU (assurances)
- LARRICQ (ancien ouvrier de la cimenterie), les transporteurs
- Les entreprises sous-traitantes
- Le budget de la commune et les réalisations induites
La cimenterie et le social
- Comité d’entreprise, colis de Noël, cadeau des enfants, fête de Noël, voyage d’une journée…
- Syndicalisme
- Mutuelle
- Ascension sociale des enfants (interroger sur ce que représente pour eux la cimenterie, parcours scolaire et professionnel…) nés entre 1945 et 1965.
- Vie politique (arrivée d’un maire de gauche)
- Paternalisme ? un personnage Monsieur Folliet
Comparaison avec les autres entreprises locales
Le secrétariat au début des années 1970
- Standard, très loin du téléphone portable
- Calcul mental
- Machine à écrire et carbone
Comment ?
Projets pédagogiques avec le collège
Etudiant en Histoire ou Sociologie ou Economie ?
Atelier au CCAS, jeunes ou moins jeunes, recherche documentaire, interview (podcast, vidéo), écriture
Partenariat avec le service Patrimoine de la ville, place de la cimenterie au musée ?
Anonyme
#2
Je déplore que la cimenterie n'utilise plus le rail pour ses besoins et ses expéditions, cela permettrait de pérenniser la ligne St-Varent/Parthenay en sursis, outre l'impact écologique moindre pour les transports.
- Contribution reçue par mail le 26/09/2021 à 20h32
club des entreprises airvaudais val du thouet
#3
Bonjour,
Le club des entreprises airvaudais val du thouet soutien favorablement ce projet de modernisation de la cimenterie, cela j'espère des développer notre territoire, mais surtout nos artisans commerçants déjà en place et pourquoi générer de l'emploi.
bonne réception
la co présidence du club
Anonyme
#4
Belle communication destinée à recueillir l'adhésion du public et des élus! autour d'un projet qui n'est plus de ce temps. La cimenterie a 100 ans, elle a bien pollué et défoncé le paysage local, il serait temps de passer à autre chose, car les GPII,Grands projets inutiles imposés (et coûteux) ça commence à bien faire, dans l'Ouest notamment ( vos clients?). Airvault est le site le plus pollué des DS, et brûler des déchets ,même avec des super techniques, ça dégage toujours des toxiques. La théorie c'est bien, en pratique, c'est autre chose. Le béton, le ciment ont été la panacée,en leur temps, tout en ayant aussi beaucoup d'inconvénients, notamment dans le bâti ancien traditionnel. Il n'est pas interdit d'innover et de revenir à des techniques vertueuses et moins gourmandes, moins polluantes. La crise économique qui arrive s'en chargera. Ma maison familiale est à Airvault, mais je ne supporte plus ce bruit de fond permanent et les odeurs récurrentes, et donc impossible de revenir habiter dans une aussi jolie ville, par ailleurs.Bien sûr l'argument no1 c'est les emplois, je ne sais pas quelles sont les conditions de travail, je vois qu'ils sont souvent en grève... Pendant ce siècle il y a eu beaucoup de maladies, la silicose, on se souvient que tous les environs étaient recouverts de poussière grise, et donc les poumons ...Même si les conditions ont heureusement évolué, la pénibilité existe toujours. Ce projet n'est pas qu'un projet de modernisation, mais d'agrandissement, et donc d'augmentation de production,( merci pour le voisinage) tout en surfant sur la diminution des nuisances, parce que de toutes façons, c'est ça ou l' arrêt, à terme...Je parierais plus sur une diminution et une amélioration, voire d'un changement de production, parce qu'il va bien falloir y passer à la décroissance. Qu'on le veuille ou non.
Anonyme
#5
> Premier point : empreinte carbone
La réduction de l'empreinte carbone est un des objectifs principaux annoncés pour ce projet. Pourtant, je n'ai pas trouvé dans le dossier de chiffres précis ni sur l'empreinte carbone actuelle de l'usine ni sur l'empreinte carbone visé après mise en oeuvre du projet. Dans les enjeux environnementaux, seul un pourcentage de réduction est cité, sans indiquer le niveau actuel des émissions carbone, que ce soit en valeur absolue ou ramenées à la tonne de ciment produit par l'usine. C'est un point indispensable pour éclairer le débat public puisqu'il est cité par l'entreprise Calcia comme un point clef du projet, à juste titre. L'entreprise doit aussi expliquer le chiffre de réduction en donnant plus de détails sur sa décomposition pour en asseoir la crédibilité.
> Second point : l'impact du projet sur le réseau industriel de l'entreprise et sur le niveau d'emploi en France
Si ce projet a pour but de conforter et de péréniser l'usine et l'emploi associé, quel est l'impact de ce projet sur les autres usines du groupe ? Lesquelles seront fermées car ne pouvant pas bénéficier des mêmes investissements de modernisation ? Quel est l'impact global sur l'emploi pour l'entreprise en France ?
Pour mémoire, la maison mère du groupe a son centre de décision en Allemagne et a durement fait baisser les effectifs du siège de la filiale française, comme cela a été annoncé par la presse.
Pour mémoire également, l'entreprise a entrepris récemment la fermeture de son usine de Cruas, dans la Vallée du Rhône.
C'est un point important pour le début public national autour de ce projet.
Vous remerciant par avance pour vos réponses.
Durand
Philippe
#6
Le calcaire de la carrière d'Airvault est un calcaire de très bonne qualité, dur, très résistant au temps. Cette pierre a servi à construire beaucoup de bâtiments, par exemple l'intérieur du pigeonnier du château de Glénay au XVIe siècle.
En complément de sa production de ciment, la cimenterie pourrait avantageusement extraire des blocs de calcaire pour la restauration de bâtiments anciens ou pour la construction moderne. La pierre, associée à la chaux, est un matériau de construction sain et plus respectueux de l'environnement que le ciment.
Philippe Durand
Château de Glénay
DUTRUC
PHILIPPE
#7
AVIS CCI des Deux Sèvres
Télécharger le fichier Avis CCI 79 CNDP446.pdfCSE
#8
Avis déposé sous format PDF par le CSE le 24 septembre 2021
Télécharger le fichier Contribution CNDP_compressed (1)665.pdf